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Le Miroir

31 janvier 2005

D'une nuit, d'un jour

Nos histoires, nos vies s'ecoulent, chacune differentes mais tellement semblables...

Où allons nous, où le vent nous emporte t'ils, nous pauvres feuilles que l'on a laissés au bords du chemin. Vivre sourire, entrer dans la danse, se donner du plaisir, pour.......un jour construire l'avenir, là où je m reposerai, où l'on se reposera "il" et moi, vous et "lui".. Quand nos lumières brilleront pour faire de nos vies un ciel étoilé. Dites moi vos mots, dites moi quand ej n'y croirais plus, dites moi que tous mes espoirs ne sont pas...de l'oublie...Le temsp passe et court devant moi, avec moi, à coté de moi, mais il est là, moi aussi. Je ne compterais pas les heures, je ne compterais plus...J'irai voir si la rose......Mes demons, mes tours de verre, laissés en potence. Du desir parfois de l'envie aussi, mais simplement entier je resterai, j'ouvrirai mon coeur encore j'espère...Le temps passera encor, je verrai des nus, des peintures de ma vie, peuplé d'insectes fou, de rire, d'angoisse, de rêves, de sexe, d'amour un jour...

Je vous ecris au son de chansons d'amour, car l'amour fait aprti de ma vie, il se cache, mais il viendra, j'ai laissé la porte enttouverte pour  qu'il puisse entré, mon coeur est en attente, il se brise parfois, il joui de la vie aussi...

Avec le temps va, tout vas bien... ( Leo Ferré)

 

 

 

 

 

 

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28 janvier 2005

Roses, où sont ils....

Ils ont parcourues, le chemin pareil à toute la putrefaction du monde, pour finir six pieds sous terre, pareil à la poussières. Ils étaient pourtant des hommes, des hommes que la memoire aura volontairement oublié, c'est tellement plus simple.

Aucune flammes ne brulera pour eux, aucun rail ne s'illuminera, ils resterons oubliés...pourtant...

Le jaune n'était pas leur couleur et "si c'est un homme", je n'oublie pas...

Les camps, les prisons, les injures, les crimes des hommes, ils ont subit, nous avons subit au nom de quoi ... Ici pas de religions, pas d'ideologie, juste une attirance que nous n'avons pas choisi, un amour qui n'est pas le votre...

Où sont ils donc allez, vers où se sont ils envolés; le rose était leur couleur...laissez verdure c'est mon dernier mot, laissez poussière ....

28 janvier 2005

Mes roses

Les mots glissent coulent, et filent entre mes doigts, l'eau de la vie, prend son chemin parfois lent parfois rapide, chaque jours differents.

J'ai des  rivières au creux des yeux parfois de joies, parfois de douleur, de tristesse vas savoir...je vais mon chemin, j'essaie de cueillir les roses, en tentant d'eviter les épines. Elles piquent, elles font souffrir , parfois d'un début tendre a la douceur des pétales, on se laisse allez à la foie qui transporte, on s'agite on s'enrev un peu, on s'approche trop prés, le sang coule, c'est un peu de vie qui s'en vas. Des meurtrissures des angles dures je construirais ma forteresse, un jour un jour, peut être te donnerais- je les clefs, toi l'autre que je n'ose imaginer

Quel sera ton visage, aura tu la douceur...

 

19 janvier 2005

JJ'ai révé de t'attendre,...simplement

L'eclaire d'une romance

Tu m'étais apparut sous la lumière, la pluie battante, nous fouété le visage, une voiture est passée, nous avons pris l'eau (  ne dit-on pas mariage pluvieux mariage heureux...), alors nos regards se sont croisés, nous avons ris,  nous étions trempés de la tete aux pieds, la tête penchée, tu m'a dit " de quoi avons nous l'air maintenant", alors j'ai ris, toi aussi, notre histoire venais de commencé..

19 janvier 2005

JJ'ai révé de t'attendre,...simplement

L'eclaire d'une romance

Tu m'étais apparut sous la lumière, la pluie battante, nous fouété le visage, une voiture est passée, nous avons pris l'eau (  ne dit-on pas mariage pluvieux mariage heureux...), alors nos regards se sont croisés, nous avons ris,  nous étions trempés de la tete aux pieds, la tête penchée, tu m'a dit " de quoi avons nous l'air maintenant", alors j'ai ris, toi aussi, notre histoire venais de commencé..

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14 janvier 2005

Retour à l'innocence

Il y a des jours où l'on aime se souvenir, des joies de l'enfance, le temps de l'innocence.

S'il y a des souvenirs qui sont encré en moi, ce sont ces longs momments passés avec mon grand père à l'ecouter, à boire ces paroles, à gouté au plaisir du "jadis", pas ceux de l'ecole, rien d'agréable pour moi (on oublie pas pourtant).

Avec lui, nous n'ecoutions pas arriver les trains en posant son oreille sur le rail qui siffle, non,nous les entendions arriver de plus loingt. Il m'apprenait à differencier, le vent et le train qui s'approche.

Alors je le regardais passé, en me disant tout qu'un jour il m'emmenerai loingt tres loingt...j'attendais le momment...

S'il l'on pouvais ne garder que les souvenirs les plus beaux...

Lorsqu'il fermera les yeux, je veux qu'il parte heureux rassuré, je vais bien

En moi son image sera toujours gravée, ainsi que ses histoires de guerre, de rail........

Serais je prendre le bon aiguillage...

14 janvier 2005

horloge d'une rennaissance (2)

Underground.....

"Le plaisir vaporeux fuira vers l'horizon

Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulice;

Chaque instant te devore un morceau du delic

A chaque homme accordé pour toute sa saison..." (Charles Baudelaire, Spleen et ideal)

Je me saoul des parfums de la rue, je m'aveugle des vives lumieres, c'est l'hiver, mon hiver qui attend le printemps...

La fraicheur leche mon visage. Pour la plupart des marcheurs du soir, eternels badauds, avide du moindre spectacle,( chacun sa solitude) c'est le momment de courire vers le metro -underground-, vers l'été qui apportera la grande chaleur. Moi, j'ai le temps, je veux prendre le temps, alors même si le froid pique un peu, je reste et déambule ds les rues de lumières.

Plus tard je pousserai la porte vers une chaleur bien differente -underground-

Je m'approche  et c'est toujours le même sourire qui accueil, le visage change, tantôt l'un tantôt l'autre,  au font quel importance.

Une autre porte bientôt la decente -underground-

Alors chacun son casier et en avant pour la transformation, on s'effeuille et legerement vetu, très legerement vetu, c'est la descente, le moment d'entrer en pleine chaleur...-underground- .Chacun sa façon, certains jouent les stars, rit et parle fort, d'autre on le regard vide et se demande ce qu'ils font là, moi et je ne suis pas le seul, je sais enfin je m'en suis convaincu, pour quelques heures...

Pour commencer et pour peut être me sentir plus anonyme, un instant, j'entre en pleine vapeur. Je sens sous mes mains la moiteur de ma peau, une main m'effleure dans la fumée, volontaire involontaire je ne veux pas savoir, j'oublie...

La chaleur est trop lourde, je sors, un regard, puis un autre, des echanges et c'est le tourbillon, les heures passent. J'ouïs cette folie, ces doux  mots de l'ivresse........-underground-

Les heures, les minutes se sont écoulés, je m'ouvre à la lumière...

 

 

La lumière de la vie, de l'envie

"Trois mille six cent fois par heure, la Seconde

Chuchotte: Souviens toi! -Rapide avec sa voix

D'insecte, Maintenant dit: Je suis Autrefois..." (Charles Baudelaire, Spleen et idéal)

Le rideau se lève, plus de voile obscure, j'apprecie même cette dentelle ephemere. Je court, je virevolte, une musique, de joie resonne à mon oreille, ahh! Gloria, cette salsa douce et vive me transporte!!! J'ecouterai plus tard des choses plus tristes, aujourd'hui j'ai l'envie de vivre, de reconstruire de danser, de gouter les plaisrs de la vie....Plus tard les chagrins, les soucis, jamais peut etre il ne faut pas réver.. et pourquoi pas après tout, j'ai bien le droit...

La journée passe au fil de l'eau, au fil du temps, ce soir je pourrai rire faire, la fete ça fait du bien, je me retrouve, je vous retrouve, amis du jour bonjour, amis du soir bonsoir...

Après je pourrai dormir....

Le jour décroit; la nuit augmente; Souvien toi!

14 janvier 2005

l'horloge d'une rennaissance

 

En pleine lumiere....avant le noir

"Horloge! Dieu sinistre, effrayant, impassible,

Dont le doigt nous menace et nous dit: Souviens-toi!

Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroi

Se planteront bientôt comme dans une cible...." (Charles Baudelaire, Spleen et ideal)

Le rideau s'est écarté, et le ciel m'offre une clarté nouvelle, tu n'es plus là. Où es tu? Que devient tu? Qui te serre dans ses bras, ce n'est plus moi....souviens-toi!

Je rencontrerai bientôt d'autre visages, j'avancerai bien sur, un instant j'aurai peur " Les vibrantes douleurs dans mon coeur plein d'effroi" Ce n'est plus toi qui se tient devant moi, c'est mieux ainsi, je crois. Je miserai encor une fois sur un peut etre, je prendrai cette porte entrouverte, pour courir vers....l'autre, il y a d'abord l'oubli et puis après...

On se gave de soleil ,reel ou artificiel, j'irai marcher, à pas lent, dans les rue de Paris je me cacherai la vue de couple amoureux,j'eviterai de me pauser des questions ( et pourtant....), je ne veux pas les voirs!. L'amour  est un delice de la vie mais il a un prix. Mon tour viendra, je croix. Ce jour là, je regarderai en arrière, comme tant de fois déjà, mais là je dirai " enfin....."

 

12 janvier 2005

de la rennaissance...à la joie de vivre

Aujourd'hui , j'ouvre la porte,pour les passants c'est tellement banal, pour moi c'est un peu renaître, sentir la douceur du vent sur ma joue.Le mots sont parfois fort mais c'est bien mon sentiment, l'envie de rennaissance.

On dit que le phoenix renaitra de ces cendres, alors pareil à l'oiseau de feu, je vais m'envoler....

12 janvier 2005

Vers le jour...

Les nuages s'écartent, la rosée laisse place à une fine dentelle éphémère, mes larmes s'effacent. Le jour va m'entrainer dans sa ronde, folle danse de la vie, où se maile tour à tour, tristesse, joies et plaisirs. Là où tout commence...

Le soleil pousse les nuages, je vais vers la lumière, le sourire au bord des lèvres, tu n'est plus là, tu seras le souvenir un souvenir...

L'heure a sonné, le jour s'est levé.

 

 

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